Mon pote, le vieux Charly
Pour éviter que je me perde dans les dédales de ce vaste quartier qui couvrait le Derb et une grande partie de la basse Redoute, ma mère me faisait répéter ces deux mots, Haouch Berramdane. « Si tu te perds, il ne faut pas pleurer ; ces deux mots suffiront pour qu’une bonne âme te ramène jusque […]
Lire plus