« Molière m’a tuer » : Mort au champ d’honneur de la langue
Certains romans intiment de les écouter dès les premières lignes. Celui-ci s’ouvre sur une entrée en matière d’expérience de prénom commun et mal vécu, mais vite en écho avec l’Histoire du pays et des humiliations de la colonisation, au point d’installer une empathie immédiate. L’auto-fiction s’élabore en arborescence constante dans des temporalités multiples, puis autour […]
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